Jon-S_Flickr
13 septembre, 2020: La société tunisienne de pédiatrie recommande le retour normal et sans interruption à l’école
La société tunisienne de pédiatrie a recommandé, dans un communiqué, le retour normal et sans interruption à l’école de tous les enfants tout en appelant au respect des règles barrières.
La STP justifie cette décision par des données épidémiologiques nationales et internationales montrant que l’enfant joue un rôle faible dans la transmission de l’infection que ce soit de l’enfant à l’enfant ou de l’enfant à l’adulte.
Selon la même source, l’enfant âgé de moins de 10 ans contribue rarement à la transmission du SARS-CoV2 et les clusters à point de départ pédiatriques sont rares, voire, exceptionnels comparé à l’enfant de plus de 10 ans.
En outre, l’enfant exposé à un cas contaminant s’infecte moins fréquemment qu’un adulte et s’il est infecté, il est le plus souvent asymptomatique et les formes hospitalisées sont rares.
La STP signale qu’en Tunisie, à la date du 1er septembre, les 248 enfants testés positifs étaient tous asymptomatique et aucun d’entre eux n’a été hospitalisé.
D’après la société tunisienne de pédiatrie, les conséquences de la pandémie de COVID-19 et la déscolarisation prolongée des enfants sont multiples et graves citant comme exemples l’augmentation des accidents domestiques, l’agressivité, l’augmentation du taux de suicide et de la délinquance outre l’exacerbation des inégalités sociales et éducatives (fracture numérique) et la perte des apprentissages.
À noter que la rentrée scolaire 2020-2021 aura lieu à partir du 15 septembre prochain de manière progressive selon les niveaux.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.
12 Septembre, 2020: Décès de Dr Gharsallah par le coronavirus – le Conseil de l’Ordre des médecins de Tunis s’inquiète de la situation épidémiologique
Le Conseil régional de l’Ordre des médecins de Tunis fait part «de sa grande inquiétude face à la situation épidémiologique actuelle et à la réalité du terrain», et appelle à renforcer les mesures pour faire face au coronavirus, qui a causé la mort, ce samedi 12 septembre 2020, de leur confrère Slim Gharsallah.
Dans un communiqué, le bureau du CROM de Tunis a déploré la perte de Dr Gharsallah, premier médecin en Tunisie à succomber de la COVID-19 et a présenté ses condoléances à la famille du défunt, tout en affirmant que les premiers témoignages recueillis pointent du doigt des difficultés de prise en charge.
«L’heure est grave, le bureau du CROM de Tunis fait part de sa grande inquiétude face à la situation épidémiologique actuelle dans notre pays et à la réalité du terrain et appelle à prendre des mesures plus restrictives permettant de freiner efficacement la propagation du virus», lit-on dans le communiqué.
Le Conseil appelle également à optimiser le circuit à suivre par les patients et notamment par leurs médecins traitants : «en cas de suspicion de cas COVID-19 avec des symptômes inquiétants, afin que ce genre de drame ne se reproduise plus», ajoute le communiqué avant de conclure : «Puisse l’âme de notre confrère reposer en paix !».
Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.
11 Septembre, 2020: Le ministre de l’Education rappelle à l’ordre les établissements d’enseignement privé
Le ministre de l’Education Fethi Salaouati est clair et net à ce sujet ! Toutes les procédures et tous les protocoles annoncés pour la rentrée scolaire 2020-2021 s’appliqueront également au secteur privé et tous les établissements d’enseignement privé sont tenus de les appliquer et de les suivre.
Une précision de taille de la part du ministre lorsqu’on sait que la Chambre des établissements éducatifs privés a indiqué que ces derniers ne sont pas soumis à ces mesures car il ne s’agit pas des mêmes conditions d’enseignement comparées à celles dans le secteur public.
Elle a notamment annoncé que le système d’enseignement par groupe et un jour sur deux annoncé par le département de l’Education, ne sera pas appliqué dans le secteur privé car généralement les classes ne sont pas surchargées.
Les nouvelles mesures prises à l’occasion de la rentrée scolaire fixée au 15 septembre avec un programme allégé puisque les élèves auront cours un jour sur deux dans des groupes qui ne dépasseront pas les 18 élèves par classe, ont donc été rejetées par la Chambre des établissements éducatifs privés.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.
10 Septembre, 2020: Le ministère des Affaires étrangères commente le limogeage de l’ambassadeur tunisien à l’ONU
Commentant le limogeage de Kaïs Kabtni de son poste de représentant permanent de la Tunisie auprès de l’Organisation des Nations unies (ONU) à New York, le ministère des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger a rendu public un communiqué, ce jeudi 10 septembre 2020, où il a présenté des éclaircissements sur la question.
En effet, le département a précisé que Kabtni a été transféré vers un autre centre diplomatique dans le cadre du mouvement annuel des chefs de missions diplomatiques permanentes et celles consulaires.
Et d’ajouter que ce transfert est en concordance avec les exigences de l’action diplomatique ainsi qu’avec les intérêts de l’Etat assurant que la décision a été prise compte tenu du bilan professionnel de Kabtni et de son accomplissements des objectifs diplomatiques fixés pour sa mission.
Le ministère des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger a, par ailleurs, souligné que la préservation de l’image de la Tunisie et servir ses intérêts suprêmes faisaient partie des devoirs de ses représentants auprès des pays étrangers.
Et de rappeler que c’était Kaïs Kabtni qui avait présenté sa démission du corps diplomatique suite à la décision de son éviction de son poste occupé depuis pas plus de cinq mois.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.
10 Septembre, 2020: Face à l’accélération de l’épidémie le ministère de la Santé met les bouchées doubles
Le ministre de la Santé, Faouzi Mehdi, a annoncé la création d’une nouvelle unité de prise en charge des patients infectés par le COVID-19 à l’hôpital Sahloul de Sousse. Il a été, également, décidé d’équiper adéquatement les laboratoires dans toutes les régions afin qu’ils soient prêts à effectuer les analyses de dépistage du coronavirus.
Le dernier bilan sanitaire fait état d’un total de 5400 cas confirmés de coronavirus, dont 265 cas recensés parmi le corps médical et paramédical et 17 cas seulement sont en réanimation. C’est ce qu’a affirmé la coordinatrice du programme national de lutte contre le coronavirus et directrice de l’Observatoire national des maladies nouvelles et émergentes (Onmne), Nissaf Ben Alya, lors d’une conférence de presse qui s’est tenue, hier, durant laquelle le ministre de la Santé Faouzi Mehdi, a annoncé de nouvelles mesures décidées, suite à une accélération observée de l’épidémie. Ainsi, dans un effort d’adaptation à la dynamique de la circulation du virus mais aussi de renforcement de la capacité d’hospitalisation, le ministre a décidé de créer une nouvelle unité de prise en charge des patients infectés par le COVID- 19 à l’hôpital Sahloul de Sousse et d’équiper adéquatement les laboratoires d’analyses dans toutes les régions du pays afin qu’ils soient prêts pour effectuer les analyses de dépistage du coronavirus.
“Vu la flambée des nouveaux cas de contamination, il y a eu un dépassement des capacités des centres de dépistage du COVID-19. C’est pourquoi nous avons décidé d’intégrer tous les laboratoires spécialisés dans l’analyse du COVID-19 dans le programme d’appui à la médecine de spécialité dans les régions prioritaires, et ce, dans l’objectif de renforcer leurs équipes médicales. Nous avons également décidé d’activer les cellules de soutien psychologique pour les soignants de premières lignes”, a -t-il déclaré. Par ailleurs, et dans le cadre de la lutte contre l’épidémie dans les établissements scolaires, Faouzi Mehdi, a affirmé que des points d’eau (citernes d’eau) seront déployés dans environ 300 écoles, et ce, en collaboration avec les ONG internationales. En outre, il a fait savoir qu’un rapport détaillé des dons versés au fonds de lutte contre le coronavirus 1818, sera bientôt publié.
Une rentrée scolaire à risque ?
En l’absence de traitement validé et de vaccin efficace contre le COVID-19, les autorités sanitaires n’ont qu’un seul mot d’ordre : cohabiter avec le virus. “Actuellement, il y a seulement 17 cas en réanimation. Ce qui explique que le nombre de cas critiques est limité. Nous devons continuer de cohabiter avec le virus en appliquant toutes les mesures sanitaires de protection”, a souligné Nissaf Ben Alya, dans son intervention, lors de la conférence de presse. Elle a ajouté que dans les zones et les régions d’alerte, il y a désormais des opérations intensives d’investigation des cas de COVID-19, qui permettent d’identifier les clusters et de prendre, par la suite, les mesures de protection générale. Ce qui contribue à l’atténuation de la circulation du virus dans ces zones à haut risque, explique-t-on. “La baisse du nombre de contaminations dans la région de Kairouan est imputable à la réussite des opérations d’investigation des cas de COVID-19 qu’on y a menées”, a-t-elle noté.
Toutefois, la rentrée scolaire ne serait-elle pas un accélérateur de la propagation du virus? Et comment les autorités sanitaires vont-elles réagir dans le cas d’apparition de clusters dans les établissements scolaires? Pour répondre à cette question, la directrice de l’Onmne a précisé qu’il y a un guide d’investigation qui définit les cas groupés (cluster) ainsi que les cas isolés. Selon ce guide, si on découvre un cluster de trois cas groupés dans une même classe, les autorités procéderont à une opération d’investigation qui va inclure toute la classe y compris l’enseignant. Dans le cas où on identifierait 3 clusters dans 3 classes différentes, une opération d’investigation des cas de contamination sera menée dans toute l’école et la fermeture de l’établissement — qui peut durer jusqu’à 14 jours — est décidée selon la situation épidémiologique.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.
09 Septembre, 2020: Un centre COVID-19 bientôt inauguré à Borj Cedria
Au vu de la détérioration de la situation épidémiologique il était nécessaire d’augmenter la capacité des centres COVID-19 en Tunisie.
C’est dans ce sens que le délégué de Soliman a affirmé dans une déclaration Shems FM qu’un nouveau centre COVID-19 sera bientôt inauguré à Borj Cedria dans le gouvernorat de Ben Arous.
Doté d’une capacité d’accueil allant jusqu’à 250 cas, il sera inauguré dans le cadre d’une coopération entre les gouvernorats de Nabeul et Ben Arous.
Ce centre sera destiné à accueillir les cas suspects mais aussi ceux confirmés et atténuera la pression sur les autres centres dont notamment celui de Monastir.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.
09 Septembre, 2020: Renforcement du dépistage et la lutte contre le coronavirus
Le ministre de la Santé, Faouzi Mehdi, a annoncé, mercredi 9 septembre, de nouvelles mesures visant à renforcer le dépistage et la lutte contre le coronavirus en Tunisie.
Lors d’une conférence de presse tenue au siège du département à Tunis, le ministre a annoncé que les laboratoires concernés par la COVID-19 seront renforcés par les cadres médicaux et ce, dans le cadre du programme de de promotion de la médecine de spécialité dans les régions prioritaires.
Il a ajouté que les laboratoires dans toutes les régions du pays seront également renforcés par les équipements nécessaires afin qu’ils soient capables de dépister la COVID-19.
Faouzi Mehdi a aussi annoncé la création d’un nouveau service pour la prise en charge des malades atteints de la COVID-19 à l’hôpital Sahloul à Sousse et son équipement par tous les moyens nécessaires outre l’activation des cellules d’écoute et d’assistance psychologique au profit des cadres de santé de première ligne.
Le ministre a indiqué que ces mesures visent à renforcer le dépistage et à améliorer la prise en charge des malades atteints de la COVID-19 qui est devenue une réalité incontournable en Tunisie essentiellement avec la hausse continue du nombre de cas d’infection.
Par ailleurs, le ministre a annoncé que Nissaf Ben Alaya, membre de l’Observatoire national des maladies nouvelles et émergentes est désormais, la coordinatrice nationale des travaux scientifiques et des programmes anti-COVID-19 et elle est également la porte parole officielle du ministère de la santé dans ce domaine.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.
08 Septembre, 2020: Le gouvernement planche sur la rentrée scolaire, dans un contexte de Coronavirus
Le chef du gouvernement, Hichem Mechichi, a présidé hier lundi 07 septembre 2020, une séance ministérielle consacrée aux derniers préparatifs de la rentrée scolaire, face à l’évolution de la situation épidémiologique du COVID-19 en Tunisie.
Dans une déclaration à l’issue de la réunion, le ministre de l’Education, Fethi Sellaouti, a indiqué que la rentrée scolaire interviendra, d’une manière progressive et souple, à compter de mardi 15 septembre, en prenant en considération les spécificités de chaque école.
Le retour des classes se fera en coordination avec les parties concernées, ministères, commissions, délégués régionaux et syndicats, a-t-il souligné, cité par un communiqué de la Kasbah.
Le ministère avait annoncé, la veille, le planning de la rentrée dans les écoles, collèges et lycées.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.
07 Septembre, 2020: Un appui financier pour maîtriser la pandémie
Face à la crise provoquée par le COVID-19 qui touche actuellement les pays du monde entier et ne cesse de créer un climat socio-environnemental précarisé par la dissémination difficilement contrôlable du virus, le gouvernement tunisien a sollicité, en réponse à cette crise, l’appui de la Banque mondiale pour le financement d’une composante d’urgence de riposte au COVID-19 d’un montant global estimé à 41 millions TND (près de 13 millions €).
Dans cette conjoncture inédite, la Tunisie souffre, en effet, de graves pénuries d’équipements et de fournitures médicaux et de laboratoire, d’équipements de protection individuelle (EPI) et de produits de lutte contre les infections pour faire face à la crise du COVID-19.
Le Projet d’Intensification de l’Agriculture Irriguée en Tunisie (Piait), approuvé par la Banque mondiale en 2018, a été restructuré pour appuyer le gouvernement tunisien à faire face à l’épidémie du COVID-19.Cette restructuration est nécessaire pour dépêcher les moyens nécessaires à mettre à la disposition du staff médical et paramédical et consiste particulièrement en l’acquisition d’équipements et de matériel de réanimation (lits de réanimation, respirateurs, des centrales de surveillance, etc.).
Soins intensifs pour les urgences
Il s’agit aussi de l’achat de matériel de soins intensifs pour les services des urgences (matériel roulant, chariots de soins), ainsi que l’acquisition d’équipements médicaux pour les services de maladies infectieuses (4 services). Il est prévu, de même, l’acquisition d’équipements de protection individuelle (masques, lunettes, combinaisons et sur-chaussures à usage unique, etc.) pour le personnel soignant.
L’achat d’équipements de laboratoire et de diagnostic (réactifs de laboratoire, matériel de conditionnement, de conservation et de transport des prélèvements pour analyse, etc.) est également noté sur la liste. Ces équipements et produits qui seront acquis bénéficieront aux hôpitaux et aux centres de soins et d’analyses virologiques/microbiologiques à travers tout le territoire et visent à contribuer à l’effort national pour prévenir la propagation et prendre en charge les malades finalement atteints dans des conditions satisfaisantes.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.
06 Septembre, 2020: Lutte contre le coronavirus, 21 gouvernorats classés rouge
Le nombre de gouvernorats classés rouge concernant la propagation du coronavirus en Tunisie s’est élevé à 21, avec une moyenne de 10 cas de contamination sur 100 mille habitants dans chaque gouvernorat, a annoncé l’Observatoire national des maladies nouvelles et émergentes.
L’Observatoire a précisé que cette «liste rouge» comprend les gouvernorats, de Gabès (779 cas), Ben Arous (325 cas), Sousse (245 cas), Tunis, El Kef (208) L’Ariana (144 cas), Kairouan (122), Monastir et Sfax (81 cas) chacun.
La même liste comprend également, avec moins de cas de contamination, les gouvernorats de Médenine, Jendouba, Nabeul, Tataouine, Mahdia, Sidi Bouzid, Kasserine et Kebili, Siliana, Bizerte, La Manouba et Gafsa, qui étaient hors de ladite liste jusqu’à mercredi dernier.
Cette liste comprend la plupart des gouvernorats, à l’exception de trois gouvernorats: Béja (5 cas), Zaghouan (3 cas) et Tozeur (2 cas), par 100 mille habitants. A noter que la liste des gouvernorats classés «rouge» comprenait, il y a deux jours, 19 gouvernorats, lorsque le nombre d’hospitalisations ne dépassait pas les 49, avant qu’il ne passe, vendredi, à 66 hospitalisations.
Depuis la découverte du premier cas de Covid-19 début mars dernier, la Tunisie a enregistré 84 décès et la guérison de 1.681 patients, tandis que le nombre de cas actifs a atteint environ 2.629 cas.
Des responsables du comité scientifique de lutte contre le coronavirus avaient indiqué dans des déclarations précédentes à la TAP que l’augmentation du nombre de cas de contamination est due à la non-application des mesures de prévention, soulignant l’impératif d’appliquer la distanciation physique ainsi que le port du masque.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.
06 Septembre, 2020: Réticence des parents à inscrire leurs enfants dans les établissements de l’enfance
La présidente de la chambre syndicale nationale des crèches et des jardins d’enfants relevant de l’UTICA, Nabiha Kammoun, a indiqué, dimanche, que le secteur de la pré- scolarité enregistre une réticence des parents à inscrire leurs enfants dans les crèches et les jardins d’enfants, en raison de leur crainte des dangers de la contamination par le virus COVID-19.
Kammoun a précisé, dans une déclaration, à l’agence TAP, que le taux d’inscription des enfants dans les crèches et les jardins d’enfants diffère d’une région à une autre, faisant remarquer que certains ont atteint déjà leur capacité d’accueil alors que d’autres ont enregistré un faible afflux.
Depuis l’entrée en activité des établissements de l’enfance (1er septembre 2020), certains parents ont eu recours à la garde de leurs enfants par leurs proches et voisins au lieu de les inscrire dans un établissement de l’enfance, pour se prémunir contre le risque de contamination par le virus COVID-19, dont la propagation est en hausse depuis le 18 août 2020.
Selon Kammoun, plusieurs propriétaires des établissements de l’enfance ont des problèmes financiers à cause du faible nombre d’inscriptions des enfants et n’arrivent pas à couvrir leurs charges financières et fiscales.
La responsable a demandé d’alléger la charge fiscale des propriétaires des crèches et des jardins d’enfants, en leur accordant une période de grâce jusqu’à ce qu’ils surmontent leurs difficultés financières, causées par la pandémie du coronavirus.
Elle estime que le protocole sanitaire relatif à la rentrée scolaire et universitaire en vue de se protéger de la propagation du virus COVID-19, signé le 27 août 2020, et qui concerne aussi les établissements dê l’enfance, n’est pas dissuasif et peut être appliqué de manière efficiente garantissant la santé des enfants et leur sécurité.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter (en Français) le lien suivant.