Photo: John S. on Flickr
01 Mai, 2020: La contamination s’étend à toutes les wilayas
La pandémie du coronavirus COVID-19 touche désormais l’ensemble des 48 wilayas du pays. Jusque-là épargnée, la wilaya de Tindouf compte désormais six cas positifs de coronavirus COVID-19, selon les chiffres du ministre de la Santé. Illizi est la wilaya la moins touchée avec deux contaminations recensées.
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03 Mai, 2020: Le marché noir de la devise ébranlé, le ‘Square’ sombre
Le marché noir de la devise, à sa tête le Square Port Saïd d’Alger, ne donne aucun signe de rétablissement, bien au contraire; « cette bourse parallèle » poursuit sa trajectoire baissière sous l’effet macabre de l’épidémie et ses diverses implications cumulatives.
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04 Mai, 2020: L’Algérie referme des commerces pour cause d’indiscipline
De nombreux commerces, rouverts la semaine dernière, ont dû fermer à nouveau ce week-end du 2 mai dans plusieurs régions d’Algérie, dont Alger, en raison du non-respect des règles d’hygiène et de distanciation sociale, selon les autorités locales.
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05 Mai, 2020: Poursuite des actions de solidarité en Algérie
Les actions de solidarité de différentes entreprises et acteurs économiques se poursuivent pour contribuer à l’effort national de prévention et de lutte contre la propagation du coronavirus en Algérie.
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07 Mai, 2020: Arrestation et harcèlement des militants et activiste du hirak – La FIDH interpelle les autorités algériennes
L’observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme (FIDH-OMCT) demande la libération immédiate des défenseurs des droits humains, ainsi que l’arrêt de toute forme de harcèlement. Dans une étude rendue public, aujourd’hui jeudi 7 mai, intitulée ‘Algérie: zoom sur le Hirak’, l’ONG a répertorié les situations individuelles d’une vingtaine de de défenseurs des droits humains harcelés par les autorités algériennes. « S’il n’existe pas de chiffre officiel d’arrestations ou de détentions, le Comité national de libération des détenus (CNLD) estimait le 30 mars 2020 le nombre de « détenus du Hirak » à 1 200. « Depuis le début du soulèvement populaire le 22 février 2019, les interpellations, arrestations, détentions arbitraires et mauvais traitements de militants pacifiques mais aussi de simples manifestants se sont multipliés », lit-on dans le document. « La répression a repris en février, avec des manifestations violemment réprimées par la police, donnant lieu à des centaines d’interpellations de manifestants pacifiques, et une série de condamnations lourdes à compter du mois de mars ». Mettant en avant le sens de responsabilité des acteurs du Hirak, qui ont décidé de suspendre toutes activités de rue pour éviter la propagation du COVID-19, l’Observatoire dénonce l’attitude des autorités. « En réponse, les autorités ont continué d’arrêter, d’harceler et de condamner les défenseurs des droits humains qui avaient manifesté pacifiquement jusqu’au 15 mars 2020 », déplore l’organisation tout en précisant que « le 6 avril 2020, un tribunal d’Alger a condamné M. Abdelouahab Fersaoui, président du Rassemblement actions jeunesse (RAJ), à un an de prison pour « atteinte à l’intégrité du territoire national » et « incitation à la violence pour nuire à la défense nationale ».
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