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04 Octobre, 2020: Rentrée scolaire, université et formation professionnelle, Les dates de reprise fixées
Les dates de la rentrée scolaire, universitaire et de la formation professionnelle ont été fixées ce dimanche lors du Conseil des ministres présidé par le président de la République Abdelmadjid Tebboune.
En effet, selon un communiqué du Conseil des ministres, pour ce qui de la rentrée scolaire, les élèves du primaire reprendront le chemin de l’école à partir du 21 octobre en cours et les élèves du collège (CEM) et du lycée reprendront les cours le 4 novembre prochain., en prenant en ligne de compte la garantie du transport scolaire pour les élèves et l’ouverture des cantines scolaires, et ce après consultation des partenaires sociaux et des associations de parentes d’élèves.
Le comité scientifique ayant, dans ce cadre, toutes les prérogatives pour examiner et revoir la situation concernant la rentrée scolaire, a ajouté le communiqué.
La même source a, par ailleurs, précisé, que la date du 15 octobre a été retenue pour la rentrée dans le secteur de la formation professionnelle, et la date du 22 novembre 2020 pour la rentrée universitaire, en prenant en considération les impératifs liés à la réorganisation des cités universitaires et éviter la surcharge notamment au niveau des amphithéâtres, et ce au vu de la situation sanitaire due à la propagation de la COVID-19.
S’agissant des mesures liées à la rentrée scolaire, le communiqué a mis l’accent sur le « strict respect des conditions d’hygiène conformément au protocole sanitaire, en prenant en compte la santé de l’élève, étant au centre de tout intérêt et de toutes les priorités ».
L’accent a été également mis sur l’impérative « désinfection des établissements scolaires 72 heures avant la rentrée avec impératif port du masque pour le cycle secondaire »
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03 Octobre, 2020 : vaccin coronavirus – les nouvelles déclerations de benbouzid
Dans une déclaration à le presse, le ministre de le santé, professeur abderrahmane benbouzid, a indiqué que « les autorités se son préparées et ont prévu un budget pour l’acquisition du vaccin contre le coronavirus (COVID-19) ».
Dans ce même conexte, le professeur benbouzid a souligné que « l’algérie a rejoint un nouveau système appelé covax, ce dernier regroupe les dizaines de pays, et œuvre pour permettre l’achat groupé de meilleur vaccin au meilleur prix mais aussi pour assurer une distribution équitable les futures doses ».
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03 Octobre, 2020 : Benbouzid appelle à la vigilance pour éviter une deuxième vague du COVID-19
Le ministre de la Santé a exprimé sa satisfaction quant à la nette amélioration de la situation sanitaire dans le pays. Il a, cependant, mis en garde contre tout relâchement dans l’application des mesures barrières.
“L’Algérie a gagné la bataille contre la COVID-19”, s’est félicité le ministre dans un point de presse animé en marge de sa visite, avant de nuancer : “Mais la vigilance demeure toujours de mise pour ne pas tomber dans une deuxième vague.” Et à M. Benbouzid d’appeler la population “à rester consciente et à continuer à appliquer les gestes barrières pour éviter une deuxième vague”.
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02 Octobre, 2020 : Dr Lyes Merabet – « Il y a de plus en plus de cas COVID-19 avec une symptomatologie mineure »
L’Algérie poursuit son déconfinement avec de nouvelles mesures entrées en vigueur jeudi 1er octobre. Dans cet entretien, le Dr Lyes Merabet, président du SNPSP, revient sur la décrue de l’épidémie et plaide pour une nouvelle organisation dans la lutte anti-COVID-19 en Algérie.
Des mesures d’allègement du confinement pour certaines régions d’Algérie ont été annoncées mercredi 30 septembre par le gouvernement, après une nette amélioration de la situation épidémiologique liée au COVID-19. En tant que praticien de la santé publique, avez-vous constaté cette décrue sur le terrain ?
Dr Lyes Merabet, président du Syndicat national des praticiens de la santé publique (Snpsp) : Effectivement, comparée à ce qu’on a vécu aux mois de juillet et août, la situation s’est nettement améliorée, on ne peut pas dire le contraire. En termes de chiffres liés aux contaminations, je pense qu’on est un peu au-dessus de ceux annoncés, tout simplement parce qu’il y a toujours un problème de dépistage. Le constat que nous partageons est qu’il y a de plus en plus de cas COVID-19 qui se présentent avec une symptomatologie mineure.
Il faut dire aussi qu’il y a sûrement des citoyens qui présentent cet état de symptômes mineurs mais qui ne se présentent même pas à la consultation et ne sont pas comptabilisés. Mais il est vrai qu’au niveau des hôpitaux et des établissements de santé de proximité, les cas avérés comme des symptômes évocateurs sont de plus en plus rares.
Aussi, beaucoup de services hospitaliers dédiés au COVID-19 n’ont plus de malades et ceux qui ont des malades sont à peine à 15-20% de leurs capacités d’accueil.
Les activités hors-COVID-19 ont-elles pu reprendre dans les hôpitaux ?
Ce n’est pas aussi net. On doit néanmoins s’adapter à la situation avec une autre organisation. Au niveau de certains hôpitaux, plusieurs services COVID-19 ont été ouverts. Ensuite, d’autres services ont été sollicités à mesure que les cas augmentaient. Etant donné que la situation épidémiologique s’améliore de jour en jour, je pense qu’il faudrait revoir de stratégie, soit en dédiant un hôpital au niveau d’une circonscription ou d’une wilaya spécialement à la prise en charge des cas COVID-19, aussi bien pour l’exploration, l’hospitalisation que les suivis et les contrôles y compris en ambulatoire.
Et parallèlement, procéder à la relance des autres activités hospitalières qui étaient à l’arrêt pour certains et pour d’autres, on y prodiguait uniquement les soins d’urgence.
Les personnels soignants ressentent-ils aujourd’hui moins de pression qu’il y a deux mois ?
Absolument. Ce qu’on regrette toutefois c’est que le ministère de la Santé n’a pas encore pris la peine, jusqu’à présent, d’envoyer une instruction aux établissements de santé pour rouvrir le droit au congé au profit des professionnels de la santé. Et pourquoi pas prioriser certaines wilayas par rapport à d’autres ? Je prends l’exemple de la wilaya de Blida qui a été la première touchée par l’épidémie du COVID-19 dès la fin février-début mars. Les professionnels de la santé sont restés sur cette pression pendant des mois, je pense qu’il est temps qu’ils puissent souffler et partir en congé.
Quel est le bilan des contaminations au sein des personnels soignants ?
Le bilan n’a pas beaucoup évolué et c’est en rapport avec la situation générale qui s’améliore dans le pays. On a recensé 93 décès parmi le personnel médical entre secteurs public et privé, et si on compte les paramédicaux et les autres corps, le total tourne autour de 128 décès.
Côté contaminations, le ministère de la Santé a annoncé un chiffre autour de 6 000 professionnels contaminés. Honnêtement, je pense qu’on a dépassé ce chiffre avec au moins 7 000 cas atteints.
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01 Octobre, 2020: Pénurie de médicaments et lutte anti-COVID-19, le coup de gueule du Pr Bouzid
Le professeur Kamel Bouzid, chef de service d’oncologie au Centre Pierre et Marie Curie (CPMC) d’Alger et président de la Société algérienne d’oncologie médicale, a dénoncé ce jeudi la rupture de stock des médicaments itératifs, affirmant que cela dure depuis les quatre derniers mois.
« Les médicaments qui manquent sont le méthotrexate, 5 fu 5 fluorouracile, l’acide folinique, les anthracyclines, la doxorubicine, la zorubicine, l’idarubicine… Ces médicaments manquent depuis quatre mois », a détaillé le professeur Bouzid dans entretien vidéo à TSA.
« C’est d’autant plus inacceptable que ces médicaments sont de vieux médicaments génériques qui servent à soigner des malades et des enfants atteints de leucémies aiguës, de lymphomes, de tumeurs osseuses… et surtout permettent de les guérir dans deux tiers des cas », a dénoncé le cancérologue, dont la colère est à peine contenue.
« Ces enfants qui pouvaient guérir vont mourir par la faute de l’impéritie de ceux qui sont chargés de nous fournir des médicaments », a fustigé le professeur Bouzid. « Le débat sur l’industrie pharmaceutique, ce n’est pas notre problème. Notre problème, c’est d’avoir les médicaments en temps et en heure et de manière pérenne », a tonné le chef de service d’oncologie au CPMC.
Le Pr dénonce affirme qu’il ne comprend rien à ce qui se passe dans le domaine du médicament.
« Je répète que ces médicaments sont des très anciens, donc on n’a pas compris ce qui est en train de se passer. On demande à x, il nous renvoie vers y. On avait un seul ministre, on en a trois maintenant concernant les médicaments », a dénoncé le professeur Bouzid.
Le professeur Kamel Bouzid a également mis en lumière le problème majeur autour des thérapies innovantes, qui « ne se résument pas seulement à l’immunothérapie, contrairement à ce que pensent ceux qui conseillent les actuels ministres ».
« Des médicaments ramenés dans les cabas »
« Les thérapies innovantes sont un ensemble de médicaments enregistrés depuis trois ans qui ne sont jamais rentrés en Algérie », a dénoncé le président de la Société algérienne d’oncologie médicale, mettant le doigt sur une « injustice flagrante. Je fais des ordonnances pour ces médicaments. Les gens vont les acheter au Maroc, ça rentre par le cabas à 6000 euros le cycle (il faut deux cycles) et c’est ce qui se fait sur l’ensemble du territoire national », a-t-il fustigé en outre.
Lutte anti-COVID-19: des « anomalies énormes »
Par ailleurs, Kamel Bouzid a évoqué « plusieurs anomalies énormes » qu’il a relevées dans le cadre de la lutte contre la pandémie du coronavirus. « On assiste comme dans tout phénomène irrationnel à des propositions soi-disant thérapeutiques comme le zinc et la vitamine C », a constaté le professeur.
« Moi, jamais on ne m’a dit que le zinc renforçait les défenses immunitaires. Le zinc est un élément qui existe naturellement dans l’organisme humain mais à des quantités infinitésimales », s’est étonné le cancérologue.
« Le risque avec le fait de rajouter du zinc partout au nom d’aucune base physiopathologique, c’est qu’on va peut-être obtenir des résultats qui n’auront pas été prouvés nulle part mais que dans un an ou un an et demi, ces doses qui ont été multipliées par mille causeront des effets secondaires majeures », a mis en garde Kamel Bouzid.
Le Pr Bouzid a également averti contre l’utilisation de gants par le public dans le cadre de la lutte contre la pandémie du coronavirus. « Le port de gants est formellement contre indiqué en dehors des soignants, et ils doivent changent de gants à chaque changement de patients, et certainement pas dans le domaine public. La Covid adore le plastique, il se colle dedans et c’est le gant qui contamine », fait savoir le professeur Bouzid, préconisant seulement le port du masque sur le visage.
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01 Octobre, 2020: Le Métro d’Alger sera géré par une filiale de l’EMA à partir du 1er novembre
« La gestion du métro d’Alger sera confiée à une entreprise 100% algérienne », a déclaré M. Lazhar à la presse, en précisant que le contrat liant l’EMA au partenaire étranger (RATP- El Djazaïr, filiale de la compagnie française RATP-Développement), arrivera à son terme le 31 octobre courant.
A l’occasion d’une visite d’inspection des travaux de l’extension du Métro d’Alger sur la ligne Est, en direction de l’aéroport international d’Alger, le ministre a mis en avant les compétences nationales, assurant que « le partenariat étranger entrepris dans le cadre de l’assistance technique dans l’exploitation du projet (durant 8 ans) avait permis aux cadres et aux ingénieures algériens d’acquérir l’expérience requise tout au long de ces années ».
Quant à la reprise de l’activité du transport par le métro d’Alger, le ministre a fait savoir qu’elle (reprise) dépendrait entièrement de la situation sanitaire du pays et de la décision du Comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie du COVID-19.
A ce propos, il s’est félicité de la politique préventive du pays qui a permis d’ »endiguer la propagation du virus », estimant que « la situation est maitrisée » par rapport à d’autres pays de larégion qui enregistrent un retour inquiétant de la pandémie.
Concernant l’avancement des travaux de l’extension du métro d’Alger, sur la ligne reliant El Harrach centre à l’aéroport international d’Alger, les responsables du projet ont affirmé sur place que les travaux avancent bien en dépit de la situation sanitaire que traverse le pays.
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01 Octobre, 2020: Inquiétante réapparition du paludisme dans le Sud
C’est un véritable SOS que viennent de lancer les députés des wilayas du Grand Sud après la propagation du paludisme. Dans une correspondance qu’ils ont adressée le 24 septembre dernier au Premier ministre, les élus ont évoqué les signes d’une nouvelle crise sanitaire susceptible d’affecter les régions frontalières d’In Guezzam et de Tine Zaouatine dans la wilaya de Tamanrasset et Bordj Badji-Mokhtar et Timiaouine à Adrar.
Le document dont nous détenons une copie sonne comme une mise en garde à l’endroit des hautes autorités du pays. En moins d’une semaine, a-t-on précisé, plus de 1 000 cas de malaria ont été dénombrés.
Quelques jours après, la sonnette d’alarme a été tirée par le Comité de surveillance épidémiologique auprès du ministère de la Santé qui, pour sa part, confirme avoir enregistré 1 110 cas de paludisme, dont 918 à Tamanrasset, 96 à Adrar et 89 à Illizi.
Ces chiffres qualifiés de record par les spécialistes en maladies infectieuses auront non seulement donné matière à réflexion sur cette nouvelle donne épidémiologique, mais aussi provoqué un véritable déchaînement sur les réseaux sociaux, nourrissant des débats houleux sur l’origine de ce pic de malades infectés.
Les professionnels de la santé estiment que cette situation, due en partie au paramètre naturel lié aux grandes précipitations enregistrées récemment dans les deux pays pourvoyeurs de ce parasite, le Niger et le Mali en l’occurrence, est imputée au grand afflux de Subsahariens vers Tamanrasset et les autres wilayas affectées.
En plus, les gens ont tendance à sous-estimer cette pathologie, considérée comme première étiologie de décès en Afrique subsaharienne. Ce qui est encore plus grave, c’est le manque de sensibilisation sur cette épidémie que certains nomades prennent pour une simple grippe saisonnière.
D’après les statistiques en notre possession, 5 décès ont été déplorés. Mais cela reste toujours préoccupant eu égard au nombre croissant des contaminations qui seraient importées soit par des Algériens qui sont partis au Niger ou au Mali, soit par les ressortissants de ces régions subsahariennes qui immigrent en Algérie.
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30 Septembre, 2020: Série de mesures relatives à la situation sanitaire
« En application des instructions de Monsieur le Président de la République, Monsieur Abdelmadjid Tebboune, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, et au terme des consultations avec le comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie du Coronavirus (COVID-19) et l’autorité sanitaire, le Premier ministre, Monsieur Abdelaziz Djerad, a arrêté, dans le cadre de la démarche progressive et flexible adoptée par les pouvoirs publics dans la gestion de la crise sanitaire, les mesures suivantes:
1. L’adaptation, selon l’évolution de la situation sanitaire, de la liste des wilayas concernées par la mesure de confinement partiel à domicile, qui passe de 18 à 11 wilayas, comme suit :
La levée de la mesure de confinement partiel à domicile pour dix (10) wilayas dont la situation sanitaire connait une nette amélioration. Il s’agit des wilayas de Bouira, Tebessa, Médéa, Illizi, Boumerdes, El Tarf, Tindouf, Tipaza, Ain Defla et Relizane.
La reconduction, pour une durée de trente (30) jours à partir du 1er octobre 2020, de la mesure de confinement partiel à domicile de 23h au lendemain 06h du matin, pour huit (8) wilayas. Il s’agit des wilayas de Bejaia, Blida, Tlemcen, Tizi-Ouzou, Alger, Jijel, Annaba et Oran.
L’application, pour une durée de trente (30) jours à partir du 1er octobre 2020, de la mesure de confinement partiel à domicile de 23h au lendemain 06h du matin pour trois (3) wilayas, enregistrant une recrudescence des cas de contamination, à savoir : Batna, Sétif et Constantine.
Toutefois, les walis peuvent, après accord des autorités compétentes, prendre toutes les mesures qu’exige la situation sanitaire de chaque wilaya, notamment l’instauration, la modification ou la modulation des horaires, de la mesure de confinement à domicile partiel ou total ciblé d’une ou de plusieurs communes, localités ou quartiers connaissant des foyers de contamination.
2. La levée de la mesure portant interdiction de la circulation du transport urbain collectif public et privé durant les week-ends.
3. Le maintien de la mesure d’interdiction, à travers le territoire national, de tout type de rassemblement de personnes et de regroupement familial, notamment la célébration de mariages et de circoncision et autres événements.
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29 Septembre, 2020: Vaccin russe anti-COVID-19 – Yasmine Moussous, 1ère Algérienne à recevoir une dose
La journaliste Yasmine Moussous, qui travaille pour la chaine d’informations Russia Today (RT) est la première algérienne à se voir administrer le vaccin russe conte coronavirus COVID-19.
Dans une vidéo postée, lundi 29 septembre, sur son compte Facebook, la journaliste qui est basée à Moscou, a donné des nouvelles après avoir reçu une dose de Spoutnik V.
Le 11 août, le président russe Vladimir Poutine avait annoncé que la Russie a développé le premier vaccin contre le coronavirus, en précisant que sa fille a « participé à l’expérience » en recevant une dose. « Ce matin, pour la première fois au monde, un vaccin contre le nouveau coronavirus a été enregistré », avait déclaré M. Poutine. « Je sais qu’il est assez efficace, qu’il donne une immunité durable », a-t-il ajouté. Le vaccin a été développé par l’Institut Nikolaï Gamaleïa, un centre de recherche d’État en épidémiologie et microbiologie situé à Moscou.
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28 Septembre, 2020: les contaminations au plus bas depuis plus de trois mois
La baisse du nombre de nouveaux cas quotidiens de coronavirus se poursuit en Algérie, avec 146 nouvelles contaminations recensées ces dernières 24 heures, soit le chiffre le plus bas depuis le 22 juin dernier, selon le bilan officiel établi ce lundi 28 septembre.
Hier, 153 nouveaux cas de coronavirus avaient été enregistrés en Algérie.
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28 Septembre, 2020: Rentrée scolaire 2021 en Algérie – Les suggestions de Berkani
Intervenant dans la soirée du 27 septembre, le membre du Comité Scientifique en charge du suivi et de l’évolution de la pandémie du Coronavirus en Algérie, le Dr Mohamed Bekkat Berkani a estimé « qu’aujourd’hui la rentrée scolaire de 2021 demeure difficile ». Pour lui, c’est encore trop tôt. « Le retour à la vie normale doit suivre un processus progressif »; a-t-il indiqué. En tant que « Comité Scientifique, notre rôle est d’examiner et valider les protocoles sanitaires spécifiques à chaque secteur »; a fait savoir Berkani.
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